THE GHOST of OKUS LAB
Axe chorégraphique :
Comment peut on chorégraphier et créer un ballet sans danseurs ? Simplement en utilisant la vidéographie comme une extension du travail de chorégraphe. Le danseur et ses mouvements seront filmés et stylisés pour obtenir son double virtuel « The Ghost Of OKUS LAB ». Ce résultat sera vidéo-projeté (Vidéo-mapping) et synchronisé avec la performance chorégraphiée réelle. Pour une démultiplication, une décomposition et une sublimation du mouvement et de la réalité.
Ces vidéographies seront utilisées tel un liquide lumineux composé de mouvements. Il coulera sur les corps, telle une enveloppe numérique.
Axe scénographique :
En plus de pouvoir créer un ballet de mouvements digital associé à la performance dansée, cette formule est un procédé d’ éclairage scénique car la projection vidéographique reste une des seules sources de lumière et serviront d’environnement lumineux aux performances et installations.
La vidéo est utilisée comme une face B et le versant fantasmagorique de la réalité.