« Finalement, il y a peut-être une part d’envoûtement dans son art … »
«Attention, OVNIS !»
« Avec des mouvements on peut hypnotiser les gens, on peut modifier la perception du temps, et c’est peut-être le propre de la danse et de l’art que de créer des accélérations et des suspensions temporelles »
« Manu, je dis souvent que c’est un biochimiste qui a bien tourné. Il a un parcours assez étonnant, j’apprécie sa vision de biochimiste sur l’art »
Manu Di Martino est chorégraphe et artiste visuel multimédia. Originaire de Liège, il est formé en biochimie (ULiège, 1996-1999) où il a pratiqué la recherche en génie génétique durant 5 années (ULiège). Dans sa jeunesse, il s’initie aux mouvements, d’abord par la pratique du skateboarding et ensuite à travers la pratique des arts martiaux. C’est à l’âge tardif de 24 ans qu’il découvre la danse et plus spécifiquement les danses urbaines. Deux voies s’ouvrent à lui : la science et la danse. À l’âge de 30 ans, il choisit de se consacrer pleinement à l’art du mouvement.
Curieux, boulimique et autodidacte, il se forme par ailleurs aux technologies multimédia.
Sa démarche artistique ambitionne la création de synergies entre le danseur, son mouvement et la lumière qu’il décline de manière multiple par la projection photographique, la vidéographie ou l’utilisation d’objets lumineux ou réfléchissants.
Il fonde le studio de création et de développement « OKUS LAB » pour diffuser ses projets et promouvoir ses collaborations.
À force de projets et de rencontres chorégraphiques, il crée une méthode de développement corporel nommée « OKUS FOKUS ».
Celle-ci repose sur l’imposition de contraintes sur la gestuelle du danseur ce qui génère en retour une spontanéité renouvelée, une libération du mouvement. Cette méthode révèle chez le danseur un « être » nouveau.
En 2017, il interprète et travaille comme concepteur visuel pour le compte de Philippe Talard au sein de la prison de Lecce (Italie). Il a la chance de pouvoir co-chorégraphier et transmettre aux détenus sa vision du mouvement.
En 2018, il participe à une conférence TEDx organisée à Liège (Talk: «From Genetics to Urban Dance»).
Il crée le concept muséal « Okus Pendulum » et le présente au Mudam (Le Musée d’Art Contemporain du Luxembourg – 2019) ainsi qu’au sein du KMSKA (Le Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers – 2021 ).
Manu Di Martino s’initie personnellement à l’utilisation de logiciel 3D et ses projets s’orientent actuellement vers l’immersion virtuelle (VR). Le projet OKUS Immersive FOKUS est actuellement en développement en collaboration avec Poolpio (Studio bruxellois de création de contenu immersif).
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